
Ré-écriture  des façades et toitures de cet immeuble 
construit dans les années 1960 et à l’expression architecturale indigente.
Le rez de chaussée et le premier étage sont associés  et ordonnés suivant les 
rythmes des façades hausmaniennes voisines.
Les ouvrages de serrurerie sont dessinés avec soin et offrent, par contraste 
avec les lignes de béton peint des maçonneries, l’image d’un bâtiment 
identifiable dans cette séquence de la rue Jean Goujon à Paris (8°)